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Du diamant pour Jacques et Monique
WARNETON : Ce samedi en fin de matinée, les époux Jacques Mille – Monique Defoirdt domiciliés rue de la Carpe à Warneton, ont invité chez-eux les autorités communales ainsi que la famille et amis afin de fêter ensemble leur soixantième anniversaire de mariage. Jacques Mille est né à Warneton - France le 25 janvier 1929. Après avoir quitté les bancs de l'école, Jacques est allé travailler pour l'usine textile "A la Bâche" de Warneton (F), puis à Warneton (B) chez D'Ennetières. Quant à Monique Defoirdt qui a vu le jour à Herseaux le 15 décembre 1930, elle aussi, dès ses 14 ans est allée "gagner sa croûte" comme on le disait à l'époque, à l'usine textile D'Ennetières dans la cité des Mountches, et puis encore pour le même patron, mais à Comines. Jacques et Monique se sont serrés tendrement dans les bras pour la première fois lors d'un bal organisé "Au Rivage" durant la ducasse de Warneton en 1949. Après deux ans et demi de "frécantach" (fiançailles), ils se sont enfin décidés d'aller, à 8h.45 le matin du 19 avril 1952, d'aller répondre "OUI" à l'échevin de Warneton Robert Lepoutre. De ce couple est né le 19 juillet 1954, leur fils unique Patrick qui après ses études, fera carrière pour l'administration de Comines en tant que responsable de la recette communale. C'est également sa maman qui s'occupe des sous du ménage, car quand Gilbert Deleu demanda aux jubilaires à qui il devait remettre le bon d'achat offert par l'administration communale, c'est elle qui de suite, a tendu le bras en disant : "C'est moi ici qui tient le porte-monnaie". Depuis qu'ils sont en retraite, c'est Monique ou son fils qui s'occupent faire les achats dans les commerces de proximité, elle met de l'ordre dans la maison et fait la lessive. Tandis que Jacques, il lit son journal chaque matin, aide son épouse pour les repas et après, c'est la soirée télévision. "En fait, j'ai le bonheur d'avoir parfois deux hommes à la maison ; quand quelque-chose ne va pas, j'appelle mon fils et il en profite pour venir boire un petit verre chez maman" disait encore la jubilaire au bourgmestre en terminant par : "On aimerait bien encore vous revoir ici dans cinq ans M. le bourgmestre". Souhaitons à ce charmant couple encore de nombreuses années de bonne santé et de bonheur. Une info de Walter Vandenberghe
Samedi 12 mai 2012
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